J'ai rencontré Bernard en 2016, au bout de ma rue. Ancien pâtissier aux halles, il vit seul dans son pavillon de région parisienne.
Entrer chez Bernard, c'est un voyage. L'écouter aussi. Chaque histoire est un roman d'un autre temps, tous les voisins le savent. Ses collections de coucous, d'assiettes, de torchons, ses souvenirs d'enfant sous la seconde guerre mondiale, d'Algérie et de Paris. Pourquoi collectionne t-on? Ce n'est pas la nostalgie pourtant qui marque quand on rencontre Bernard, c'est sa fureur de vivre à 85 ans : chiner sur les bord de marne, cuisiner, jardiner, rigoler... Il faut en profiter car comme il dit " la roue tourne et on est sur la liste".
La gazelle
Entrer chez Bernard, c'est un voyage. L'écouter aussi. Chaque histoire est un roman d'un autre temps, tous les voisins le savent. Ses collections de coucous, d'assiettes, de torchons, ses souvenirs d'enfant sous la seconde guerre mondiale, d'Algérie et de Paris. Pourquoi collectionne t-on? Ce n'est pas la nostalgie pourtant qui marque quand on rencontre Bernard, c'est sa fureur de vivre à 85 ans : chiner sur les bord de marne, cuisiner, jardiner, rigoler... Il faut en profiter car comme il dit " la roue tourne et on est sur la liste".
La gazelle
Bernard à l'entrée de sa maison, en banlieue parisienne.
Bernard pose devant sa collection. au départ il n'y avait qu'un seul coucou, mais sa femme ne le supportait pas. quand elle est partie, la collection de coucou a commencé.
La pièce principale du pavillon. la première assiette a été trouvée sur une brocante de la Marne en 1982. C'était un souvenir de la famille de Monaco, acheté un peu machinalement suite à un voyage dans la principauté. Puis les autres ont suivi.
